“Fiesta” -Vidéo en public
Monday, July 30th, 2007“Fiesta” en public - Extrait de l’album “Ballades de nulle part”
Fabrice Collette -Fiesta
envoyé par kwazil
“Fiesta” en public - Extrait de l’album “Ballades de nulle part”
Fabrice Collette -Fiesta
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Une vidéo en public de Voyageurs de nulle part - Extrait de l’album “Ballades de nulle part”
Fabrice Collette en concert solo
envoyé par kwazil
Texte et Musique : Fabrice Collette
Dans un casino à l’aurore
Une fille danse dans le silence
danse pour la vie, danse pour la mort
je mise pour voir la différence
Comme toujours, comme toujours
Au coeur d’une boule de verre
en rouge et noir, brûlant de glace
Ton nom roule sur le tapis vert
Je gagne, je perds, puis il s’efface
Comme toujours, comme toujours
Hey
Quand la lune est immobile
Que les étoiles qui nous ont fait un soir d’été
Disparaissent
Dans le ciel trop fragile
Où brillent des apparences de confidences
Impair, passe et je te manque
Hey
J’voudrais qu’tu viennes au fond d’mes nuits
quand ton visage caressé par mes regrets
Disparaît
Dans l’impatience assassine
Des instants transparents où tout se tait
Les jeux sont faits, tu me manques
Sur le tapis couleur d’aurore
J’suis parti chercher des trésors
J’y ai gagné ceux de ton corps
Mais pour le reste, je joue encore
Comme toujours, comme toujours
Texte et musique Fabrice Collette
Y’a des p’tits matins qui coulent
Tout au fond d’un café noir
Des solos de blues qu’on déroule
Des heures accoudés au comptoir
D’évidence
Y’a des silences
Qu’on voudrait bien
Oublier jusqu’à demain
Y’en a qui hurlent dans la foule
Que tout s’rait tout blanc ou tout noir
Moi j’prie pour que l’gris du blues
Vienne chasser les marchands d’espoir
D’évidence
Faudra d’la chance
Pour que demain
Brille un peu mieux qu’ce matin
Brille un peu mieux …
D’évidence
Quand on y pense
Rien n’y peut rien
Contre le blues du p’tit matin
texte : F. COLLETTE et P. DETRE, musique : Fabrice COLLETTE
Tu m’as r’gardé puis t’es parti dans la lumière
J’suis resté là le cul par terre
Sans rien juger, comme un ami presque comme un frère
Encore une fois là comme hier
Nos souvenirs de jours d’enfants près d’la rivière
Puis ces chemins que chacun mène
Et moi je fais tout c’que j’sais faire
R’garder la terre au fond d’mon verre
Depuis qu’on m’a coupé les ailes
Tu m’as r’gardé puis t’es parti dans la lumière
J’suis resté là le cul par terre
Tout c’qu’on croyait, tout c’qu’on s’est dit, nos p’tites affaires
Tout c’qui s’en va l’long d’la rivière
Tu crois toujours que la terre colle à ceux qui restent
Qu’la vie s’envole pour ceux qui cherchent
Et moi je fais tout c’que j’sais faire
R’garder la terre au fond d’mon verre
Depuis qu’on m’a coupé les ailes
Tous ces jours qui nous entraînent et nous rassemblent
Tous ces amours, tous ces poèmes qui se ressemblent
Sont pas les mêmes qu’on voulait faire
Sous le soleil des jours d’hiver
Quand on jouait près d’la rivière
Oh Yeah, Oh Yeah, Oh Yeah, Oh Oh Yeah
Les hommes se battent et gagnent une vie qui les enterre
Leurs rêves dérapent et tombent en vrille près d’la rivière
Et moi je fais tout c’que j’sais faire
R’garder la terre au fond d’mon verre
Depuis qu’on m’a coupé les ailes
Tu m’as r’gardé puis t’es parti dans la lumière
J’suis resté là le cul par terre
Tu vas r’partir, courir ta vie chercher tes rêves
J’vais rester là près d’la rivière
Ni toi ni moi sur ces chemins qui nous emmènent
On n’a croisé d’amour qui traîne
Et moi je f’rais tout c’que j’sais faire, R’garder la terre au fond d’mon verre
Depuis qu’on m’a coupé les ailes
Et moi je f’rais tout c’que j’sais faire, R’garder la terre au fond d’mon verre
Depuis qu’on m’a coupé les ailes
Et moi je fais tout c’que j’sais faire, R’garder la terre au fond d’mon verre
Depuis qu’elle m’a coupé les ailes